Barclay (James)

 

 

James Barclay est né en 1965 en Angleterre. Après ses études et même une expérience d’acteur, il a travaillé dans la City jusqu’à ce que le succès de ses romans l’incite à se consacrer à temps plein à l’écriture. De fait, depuis 1998, il s’est imposé comme le plus prometteur des auteurs anglais de Fantasy. 
(source : www.bragelonne.fr)

Barjavel

 

 

Après avoir vécu de nombreux petits boulots, à dix-huit ans, René Barjavel commence une carrière de journaliste au 'Progrès de l'Allier'. Ensuite, il intègre la revue 'Le Document' en tant que secrétaire de rédaction et prend le poste de chef de fabrication des éditions Denoël. Puis il devient critique cinématographique, caporal-cuistot pendant la Seconde Guerre mondiale et créateur de 'L'Echo des Etudiants' à Montpellier. De retour à Paris, à la fin de 1940, il fait paraître plusieurs de ses romans, tous dans un style différent. En effet, René Barjavel enchaîne le roman médiéval, le roman précurseur de la science-fiction, et s'essaie au théâtre. Son oeuvre est cependant marquée par le même talent : il sait aussi bien raconter les histoires d'amour que la fin du monde, et fait prendre conscience au lecteur de l'univers qui l'entoure au travers d'histoires passionnantes.

 

Bordage (Pierre)

 

 

Pierre Bordage est né en janvier 1955 à la Réorthe, en Vendée.
Après une scolarité sans histoire, neuf ans de karaté et quelques cours de banjo, il s'inscrit en lettres modernes à la faculté de Nantes et découvre l'écriture lors d'un atelier en 1975.
Il n'a encore jamais lu de SF, lorsqu'il est amené à lire pour une dissertation Les chroniques martiennes de Ray Bradbury, qui est une véritable révélation.
Passé quelques voyages en Orient et diverses expériences professionnelles, dont une de libraire, il vit dans le Gers, en 1985, quand il écrit Les guerriers du silence. Soumis à différents éditeurs, le manuscrit est cependant refusé, et ce n'est qu'en 1992, revenu entre-temps à Paris et devenu journaliste sportif, qu'il rencontre son premier éditeur, Vaugirard, qui lui propose la série des Rohel le conquérant. La même année, découvrant à Paris un ouvrage d'Orson Scott Card édité par l'Atalante et traduit par Patrick Couton, son ancien professeur de banjo, il décide de proposer à nouveau Les guerriers du silence à l'Atalante, qui l'éditera en 1993. La reconnaissance des amateurs et des professionnels de la science-fiction se traduit rapidement par le Grand Prix de l'Imaginaire et le Prix Julia Verlanger en 1994.
Il obtient encore le prix Cosmos 2000 pour La citadelle Hyponéros en 1996, et le prix Tour Eiffel de science-fiction 1998 pour Wang.
En 1998, il publie chez J'ai lu Atlantis, un livre fondé sur le jeu du même nom, puis à l'Atalante Abzalon, le premier roman d'un nouveau cycle.
Marié et père de deux enfants, il vit actuellement à Boussay, en Loire-Atlantique.

 

Bradley (Marion Zimmer)

 

 

Marion Eleanor Zimmer est née le 3 Juin 1930 à Albany dans l'Est des Etats-Unis. Elle commence à écrire relativement jeune et crée vers ses 17 ans un fanzine de science fiction. En 1947 elle se marie avec Robert Bradley (ils divorceront en 1964). En 1953 paraissent officiellement ses deux premières nouvelles de science fiction. En 1958 paraît dans Amazing Science Fiction Stories le roman The planet savers (Projet Jason), le premier de la série Ténébreuse. En 1983 paraît le roman The Mists of Avalon, une nouvelle version de la légende arthurienne qui la fait connaître au monde entier. Dans les années 90, Marion consacre beaucoup de temps à travailler en tant qu'éditeur d'anthologies de science fiction, de fantasy ou concernant Ténébreuse. Elle a ainsi publié 12 recueils de nouvelles se déroulant dans l'univers Ténébran. Malgré sa santé de plus en plus mauvaise, Marion continue d'écrire, et La matrice fantôme, suite de La chanson de l'exil est paru en septembre 97. En décembre 98, Le soleil du traitre est paru : il constitue la fin (qui devait être provisoire) du sous-cycle consacré à Margaret Alton. Ses trois derniers romans ont été écrits en collaboration avec Adrienne Martine-Barnes, bien qu'elle ne soit pas officiellement créditée dans La chanson de l'exil.